banniere

« Carnage d’Utøya : Breivik demande sa libération! »

1 minute, 51 seconds Read

Carnage d’Utøya : Un cri pour la libération

Le 22 juillet 2011, Anders Breivik a commis le carnage le plus meurtrier dans l’histoire de la Norvège. En l’espace de moins de deux heures, ce terroriste a tué 77 personnes à Utøya, près d’Oslo. Après de longues années de procès, Breivik a finalement été condamné à la réclusion criminelle à perpétuité en 2012.

Cependant, le terroriste n’a pas encore renoncé à ses rêves de liberté. Dans une lettre adressée au président de la Cour suprême norvégienne, Breivik a fait une demande pour obtenir sa libération. La lettre, datée du 30 janvier 2021, est une demande de révision de sa sentence. Breivik déclare qu’il est prêt à accepter une sentence plus sévère pour obtenir sa liberté.

Lorsqu’on lui a demandé pourquoi il souhaite maintenant être libéré, Breivik a répondu que sa détention n’est pas justifiée et qu’elle va à l’encontre des principes de justice et de droits de l’homme. Il estime que l’État norvégien est responsable des mauvais traitements infligés à sa personne et qu’il devrait être libéré.

Breivik s’exprime, le ton est gai

Les médias norvégiens ont été surpris de constater que Breivik était d’humeur relativement joyeuse dans sa lettre. Bien que le ton de la lettre soit froid et distant, on sent une certaine optimiste dans ses mots. Il a même exprimé son envie de participer à des activités sportives et culturelles.

Bien que la plupart des Norvégiens soient profondément choqués et écœurés par la lettre de Breivik, ils sont aussi conscients qu’il a le droit de faire appel à une sentence pénale. De plus, la possibilité de voir Breivik libre est très faible car son appel sera très certainement rejeté par la Cour suprême norvégienne.

La lettre de Breivik démontre que malgré sa condamnation, il n’a pas perdu espoir. Il montre une détermination inébranlable et se bat pour ses droits. Même si Breivik n’est pas libéré, sa lettre a ravivé le débat sur la précarité des droits des prisonniers et les conditions de détention.

Articles associés

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *