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« Dupond-Moretti rejette les préconisations de la contrôleuse des prisons »

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Dupond-Moretti: "Non!"

Le ministre de la justice, Eric Dupond-Moretti, a clairement exprimé son désaccord face aux préconisations de la contrôleuse des prisons, lors de sa dernière allocution. Il s’oppose à l’idée de la contrôleure visant à améliorer les conditions carcérales, en permettant aux détenus un espace suffisant pour se sentir à l’aise et en augmentant le nombre des activités proposées.

Le ministre a expliqué son point de vue en ces termes: « Il est important de garantir au détenu des conditions minimales de vie raisonnables, mais cela ne doit pas amener à oublier qu’ils se sont mis eux-mêmes dans cette situation. Nous devons leur donner une chance de réinsertion et de réhabilitation, mais nous ne devons pas les mettre à l’aise dans leurs cellules ».

Des propos qui n’ont pas manqué de susciter la polémique.

Contrôle des prisons: Des préconisations rejetées

La contrôleuse des prisons, en revanche, a déploré le rejet des propositions qu’elle avait émises, affirmant que « les prisons ne sont pas des endroits confortables, et il est important que leurs conditions soient régulièrement améliorées afin que les détenus puissent retrouver leur dignité et leur humanité ».

Le ministre a répondu en déclarant qu’il était important « de regarder la situation du point de vue des victimes » et qu’il ne fallait pas oublier que « ces détenus ont été condamnés pour leurs actes ».

Le ministre n’a pas cédé face aux critiques de la contrôleure et a clairement exprimé son désaccord avec ses conclusions.

Conclusion

Le ministre de la justice, Eric Dupond-Moretti, a clairement indiqué qu’il n’était pas favorable à l’amélioration des conditions de détention comme le propose la contrôleuse des prisons. Dans sa dernière allocution, il a déclaré qu’il s’agissait avant tout de veiller à ce que les victimes ne soient pas oubliées et de permettre aux détenus de réintégrer la société, et non de les mettre à l’aise dans leurs cellules. Ces propos ont suscité des réactions très diverses, et il convient désormais d’attendre pour voir si les préconisations seront finalement mises en œuvre ou non.

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